NOUVEAU ! Découvrez ci-dessous les jeux d'aide à la décision, et leurs légendes
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Le dé-cisionnaire infaillible.
« Dieu ne joue pas aux dés ». Albert Einstein
« Mais il y contribue ». Sagesse populaire
La légende
« Dieu ne joue pas aux dés », disait Albert Einstein.
Et il a tout à fait raison, en tout cas, pour le début. En effet, au commencement, tandis qu’il n’existait rien, Dieu était tout seul, et il ne jouait pas aux dés, mais plutôt avec des allumettes. Et à un moment, on ne sait pas exactement ce qui s’est passé, ça a fait un gros bruit, et il y a eu une sorte de gros BOUM, un BIG BANG.
Et la lumière fût !!!
Alors, Dieu, il n’était plus seul. Il s’aperçu qu’avec la lumière était apparu l’ombre. Mais il n’y avait rien, juste Dieu, donc lui seul pouvait avoir une ombre.
Mais avec la lumière, le temps aussi a été créé. Alors, Dieu s’est rendu compte que le temps existait, et ne passait pas vite. Il a commencé à s’ennuyer.
Et c’est à ce moment seulement que, pour passer le temps, il commença à JOUER AUX Dés, avec son ombre…
La toupie sage, qui tombe toujours juste
La légende
Après la création, Dieu jouait souvent aux dés avec son ombre. Cela le distrayait et faisait passer le temps.
Mais son ombre le provoquait régulièrement, lui lançant toujours de nouveaux défis. Un jour (qui n’existait pas encore), elle lui dit que son univers, sa création, c’était bien joli, mais ça finissait pas être lassant, tout étant immobile et figé.
« Ah oui ? C’est ainsi » répondit Dieu. « Eh bien, nous allons voir ». Il se leva, et de sa main droite fit tourner tout ce qui était à sa portée, générant de gigantesques tourbillons.
Lorsqu’ils s’arrêtèrent de tourner, l’ombre regarda Dieu avec un air de défi : « C’est tout ? Ça s’arrête déjà ? Même en tournant, c’est répétitif, donc monotone. »
Piqué au vif, Dieu réagit en créant les lois de conservation, dont celles de l’énergie et du moment cinétique. Il ajouta même de la fantaisie avec les lois gyroscopiques, la précession et la nutation.
L’ombre restait interdite, ne sachant que répondre. Dieu lui lança alors une petite toupie en disant : « Tiens, amuse-toi. En plus, ça t’aidera à décider ».
Le bracelet quantique
Il dit toujours la vérité
La légende
Le mot "quantique" a été introduit par le physicien Max Planck pour décrire l’énergie de la lumière. Au lieu d’un continuum énergétique, il proposait de relier l’énergie à la fréquence de façon discrète (discontinue), ce qui résolvait une expression mathématique. Depuis, ce terme a fait l’objet de nombreux détournements pour lesquels "magique" s’appliquerait parfaitement.
Le bracelet quantique satisfait à ces deux significations. Etant constitué de perles de verres de différentes couleurs, l’énergie qu’il renvoie est bien quantifiée (une couleur = une fréquence). De plus, chaque couleur ayant une empreinte forte dans l’inconscient collectif (rouge = danger ou plaisir, vert = nature…), on peut considérer que ce bracelet fournit toujours la bonne réponse. En effet, celui qui l’utilise, en sélectionnant en aveugle une perle, croit ne pas savoir laquelle il choisit, tandis que son inconscient le sait très bien et le guide vers la bonne réponse à la question qu’il se pose.
Le sac magique
Le caillou du petit pouce sait
La légende
Lorsque le petit poucet revint de chez l’ogre avec les bottes de sept lieux, il les observa attentivement et réussit à en faire des copies pour ses frères, qui se mirent à parcourir la forêt à toute vitesse. Mais en circulant si vite, il y eut rapidement des collisions entre eux aux croisements des chemins.
Le petit poucet, qui était le plus ingénieux des frères, chercha une solution. Il la trouva à nouveau sous la forme de petits cailloux, colorés cette fois-ci, qu’il disposa aux croisements des chemins, avec le code suivant :
La question à se poser est : puis-je passer ?
Rouge : NON, marquer le stop
Rose : Plutôt non, céder le passage
Bleu : Attendre
Gris : décider
Jaune : plutôt oui, prudemment
Vert : OUI, priorité
C’est de cette histoire qu’est venue l’idée d’utiliser des couleurs pour le code de la route.
Le sac magique contient trois cailloux de chaque couleur.
Les cibles attractives
Se centrer pour décider
La légende
Il fut un temps où l’homme n’arrivait pas à se décider. Il passait ses journées à hésiter, commençait une activité puis changeait d’avis, faisait autre chose. Il en résultait une très grande perte de temps et d’efficacité, se traduisant par des existences misérables. Les cabanes n’étaient pas terminées, les champs mal semés ou non récoltés, aucun animal de compagnie et de grandes difficultés à se nourrir. Les hommes chassaient avec des arcs et des flèches mais, étant très maladroits, ils revenaient souvent bredouilles.
Un gentil génie, qui aimait les humains, cherchait un moyen de les aider. Il voulait à la fois les rendre plus habiles au tir à l’arc, et les aider à décider.
Il eut alors l’idée de concevoir des cibles pour leur permettre de s’exercer au tir, et réussit à les convaincre de les utiliser et s’y entraîner. Le résultat a été rapide. Cependant, il restait la question des choix. Le génie réalisa des cibles de choix avec six secteurs, OUI, plutôt oui, attends, décide, plutôt non, NON. Ainsi, ses amis les humains ont pu disposer d’un outil pour améliorer leurs performances à la chasse, tout en apprenant à se décider.
Le mou-choix
Pour apprendre à avoir le nez creux (intuition)
La légende
"Avoir le nez creux" est une expression populaire signifiant avoir une bonne intuition. Cette dernière permet de faire des choix qui ne soient pas basé sur des raisons logiques ou intellectuelles, mais plutôt sur des ressentis.
Le nez nous permet de respirer, en filtrant et réchauffant l’air passant par les sinus, en direction des poumons. Parfois, notre nez est encombré, obstruant la circulation de l’air. Il est d’usage d’utiliser un mouchoir, petite pièce de tissu servant, comme son nom l’indique, à se moucher. Ce petit objet est aussi parfois utilisé uniquement comme accessoire de décoration, subtilement glissé dans la poche de poitrine d’un veston, transférant vers l’élégance un rôle naguère uniquement utilitaire.
Le mou-choix entre dans cette catégorie. Il est fin et décoratif, se place discrètement dans une poche, mais permet également, en le pinçant en aveugle, de proposer une suggestion de choix.
Qu’on accepte ou non.
Tout est alors une question d’intuition… Et de nez creux.